L'Assassin Royal, tome 11 : le Dragon des glaces de Robin Hobb

Publié le par Walpurgis

Fantasy

Grand format

Traducteur : A. Mousnier-Lompré

Edition : Pygmalion

Date de parution : 2005

Nombre de pages : 342 pages

La narcheska Elliania, des îles d'Outre-mer, a lancé au prince Devoir un défi : il doit lui rapporter la tête du dragon Glasfeu s'il veut l'épouser.
Il lui faut donc se rendre sur l'île d'Aslevjal où se trouve le monstre, prisonnier de la glace. Mais le jeune homme a fort à faire pour convaincre les Outrîliens de le laisser partir. Après de longs pourparlers et des préparatifs à Castelcerf, le prince prend enfin la mer, accompagné de Fitz et d'Umbre. Hélas, à la suite des machinations de ce dernier pour l'empêcher de se joindre à eux, le fou, qui a prédit à Fitz sa mort à Aslevjal, demeure retenu dans les Six-Duchés.

Le voyage commence et nous, lecteurs, savons qu'il nous mène à la fin. Nous quittons Castelcerf pour les îles d'Outre-mer et nous découvrons un monde différent des Six-Duchés avec son propre système et ses traditions. Encore une fois, le talent de Robin Hobb a élaboré un monde n'est plus à démontrer. Tout est merveilleusement bien construit. Mais avant d'atteindre les îles, le voyage en bâteau est obligatoire. Même si ce n'est pas la partie la plus passionnante, c'est l'occasion de s'intéresser aux personnages et à leurs relations. Fitz et Lourd se lient par la force des choses, Trame s'intéresse à Fitz, Umbre veut tout gérer...On sent de la tension voire de la dissension dans l'air.
Et enfin, Aslevjal apparaît ! Terre de glace hostile où Glasfeu doit se trouver. Dès le départ, l'île semble receler de nombreux mystères et tous les personnages ressentent une angoisse. Que s'est-il passé ici ? Puis à la fin... Oh la fin !


 

Publié dans Fantasy

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
F
Ce n'est pas le meilleur tome mais je l'avais beaucoup aimé, et effectivement ça m'avait aussi changé agréablement de partir des Six-Duchés.
Répondre
W
Oui on découvre autre chose, c'est dépaysant mais on sent que c'est pas le coeur de l'action.