Eternalis de Raymond Khoury
Traducteur : Jacques-Hubert Martinez
Edition : Ed. de Noyelles
Date de parution : 2009
Nombre de pages : 536 pages
Naples, 1750. Dans les profondeurs de la nuit, trois hommes armés d'épée pénètrent dans le palais d'un marquis. Leur chef, Di Sangro, l'accuse d'être un imposteur et le somme de lui révéler Le Secret. Mais le marquis prend la fuite laissant derrière lui un palais en flamme et un Di Sangro jurant vengeance... Beyrouth, 2006. Mia à a peine le temps de faire la connaissance avec sa mère Evelyn, archéologue émérite et passionnée, que celle-ci est enlevée sous yeux. un antiquaire venait de lui parler d'un codex orné d'un Ouroboros - le serpent qui se mord la queue - et Evelyn avait compris la portée vitale d'une telle relique...
Eternalis c'est le livre qui est rentré dans ma PAL par hasard et qui a mis un temps fou à en sortir et finalement on comprend pourquoi...
Naviguant en passé et présent, on suit la piste du symbole de l'Ouroboros, cycle de la vie et de la mort, qui aurait signalé une secte mystérieuse. Evelyn, l'archéologue, suit sa trace depuis des années et se retrouve enlevée par un docteur un peu dingue, féru d'expériences sur les humains.
C'est donc Mia, sa fille à peine connue, qui va la rechercher et mener l'enquête, épaulée par deux personnages : Corben du FBI et un étrange agent de l'ONU, Kirkwood.
On comprend vite que ces agents cachent leur jeu et leurs véritables motivations, devinant sans trop de peine qui ils sont. L'histoire n'est pas très haletante malgré des scènes d'action et plein de mystères. J'ai eu l'impression de lire un scénario qui aurait pu faire une série B à la télé sur fond d'ésotérisme et d'enquête menée tambour battant.
On lit l'histoire sans conviction et en conclusion, l'ennui s'installe...